« Le futur appartient à ceux qui voient les possibilités avant qu’elles ne deviennent évidentes ». Dans un monde de plus en plus complexe, cette phrase attribuée à Théodore Levitt, et dont nous avons fait notre slogan dès la création de KAMITIS, n’a jamais été aussi vraie.
Et pourtant, ce constat de bon sens est encore ignoré dans la plupart des entreprises. La veille coûterait trop cher, n’aurait pas de bénéfices quantifiables, serait difficile à mettre en œuvre… autant de prétextes et de contre-vérités pour éviter de reconnaitre que le monde de 2016 fait peur avec ses incertitudes et ses absences de repères. Il est tellement facile de ne rien changer.
Or, cette nolonté d’agir porte préjudice aux entreprises à court terme, met à mal leur compétitivité à moyen terme et les fait péricliter à long terme.
« Ce n’est pas parce que le retour sur investissement est difficile à calculer que les entreprises ne doivent pas faire de veille. Au contraire, il faut prendre en compte le risque de ne pas en faire », « Le frein majeur est le défaut d’alignement entre la veille et les préoccupations stratégiques » nous expliquent respectivement Marie-Laurence CARON-FASON et Nicolas LESCA, Professeurs des Universités à l’IAE de Grenoble, rattachés au laboratoire CERAG et dont les recherches se focalisent sur la veille anticipative et les signaux faibles.
Certes, le choix des outils peut s’avérer très compliqué selon les besoins des entreprises. Il peut même nécessiter une certaine expertise du métier de la veille comme le souligne notre focus sur Inoreader, le service de surveillance des flux RSS le plus performant du moment. Mais les bénéfices s’avèrent tangibles et élevés comme le démontre la section IE de cette publication.
D’ailleurs, les exemples cités dans la section « Expertise scientifique » et qui sont le fruit de notre propre processus de veille, mettent en lumière des technologies émergentes qui façonneront le monde de demain. Les détecter au plus tôt permettra à certaines entreprises visionnaires d’avoir un avantage compétitif sur la concurrence. C’est en cela que réside le bénéfice essentiel de la veille.
En revanche, malgré leurs performances croissantes, les outils ne sont qu’une petite partie de la solution : l’humain reste essentiel et incontournable. L’analyse de l’information, étape indispensable visant à faire des signaux faibles un renseignement exploitable et opérationnel, demeure « une activité de cognition humaine complexe et faiblement programmable ».
Enfin, la section financement vous aidera à comprendre comment débloquer votre CIR par une mobilisation de créance afin de la monétiser. Pourquoi pas pour financer votre dispositif de veille ?
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